Si j'ai été heureux de me refaire les épisodes Nes, incroyables, j'ai encore plus aimé rejouer à ce Super Double Dragon sortit en 1992 sur Super Nintendo et en 2021   sur Evercade (non mais quelle machine !) . Honnêtement, il a beaucoup mieux vieillit que ses aînés. Des beaux graphismes, une maniabilité beaucoup mais alors beaucoup plus fluide, une palette de coups digne d'un versus... Ce titre de Technos marque pourtant la fin de la célèbre société japonaise. Pour cet article, j'ai été me replonger dans les tests d'époque et suis sidéré de voir que Super Double Dragon avait alors reçu un accueil très mitigé de la part de la presse. Qu'en est il aujourd'hui ? C'est ce à quoi je vais tâcher de répondre.   Les gros-bras des années 90 Ce jeu sent tellement bon les années 90... Regardez-moi ces artworks et ces coloris flashy ! Ça me renvoie à cette époque où tous les jeunes avaient pour héros Stallone , Schwarzie , Hulk Hogan , notre Jean-Claude Vandamme d

Alors là, j'ai fais une sacré découverte. Jamais ce nom ne m'était venu jusqu'aux oreilles ni aucune image, je m'en serais souvenu. Ce héros est tellement mais tellement badass ! La classe incarnée. Et en plus, il sait tout faire. Jim Power est un jeu à gameplay multiple et ne pensez pas que j'abuse, quand je dis multiple c'est multiple. C'est d'ailleurs la première fois que je vois cela, du moins à ce point, et ce n'est même pas la seule chose m'ayant choqué dans ce titre. Il est temps de détailler ce si spécial Jim Power : The Lost Dimension in 3D , revenu d'entre les morts sur la Piko Interactive Collection 1 pour Evercade.  Patate de forain Déjà, premier choc : les graphismes. Dieu qu'ils sont trop bons ! Cette version Evercade est la même que celle sur Super Nintendo et j'imagine la tête des joueurs de l'époque en découvrant ce jeu. Oubliez tout ce que vous avez pu voir jusqu'à maintenant, Jim Power est à part. Venant

Vous avez lu le titre et êtes donc au fait que je considère ce jeu comme étant une véritable oeuvre d'art vidéoludique, ce dans tous les sens du terme. Que ce soit les graphismes, le gameplay, le level-design... Mais comment une presse dite spécialisée peux taire ce genre de sortie ? Parce que le Commodore 64 n'intéresse que peu de personnes ? Et alors ? Montrez un peu ce que ça donne quand des passionnés se mettent au boulot. Ça donne des titres de génie comme ce Barnsley Badger ou encore L'Abbaye des Morts . Leurs créateurs mériteraient tellement de louanges... Mais non... Allez donc jouer à Fornite  ou Warzone . Non ! Mieux. Donnez donc vos sous à Watermelon pour un Paprium  next-gen qui sortira dans des années... Moi, j'ai un cimetière et ses sous-sols mystérieux à parcourir. Pixel perfect Quand l'on parcourt un jeu comme Barnsley Badger , c'est toute la magie d'un livre de Lewis Carol qui nous emporte dans des contrées lointaines se trouvant aux conf

Dans les jeux vidéos, le bestiaire tient une place primordiale. Certains ennemis sont vraiment inspirés et vous fichent une trouille bleue. Chaque joueur ayant sa propre sensibilité, les méchants nous ayant marqué ne sont pas forcément les mêmes. Voici donc mon petit top de ceux me faisant frissonner.  3ème place : le Kaernk Invisible dans Amnesia The Dark Descent Glaçant, non ?  Je me souviendrais toute ma vie de ce moment. J'étais allongé dans mon lit avec ma Nintendo Switch , lumières éteintes et écouteurs à fond, lorsque j'ai du traverser les satanés égouts de Amnesia The Dark Descent . Mon Dieu, ce moment de flippe ! À peine votre pied touche la surface du flux dégoûtant que des gerbes d'eau sale apparaissent et se multiplient en avançant vers vous à grande vitesse. Je vous garantie que la situation est extra angoissante. La seule manière de passer ? Trouver ci et là un bout de corps en décomposition et le jeter d'un côté tandis que l'on part dans l'autre

J'ai lancé le jeu, oublié la vie et ses galères pendant trois heures et viens vous donner mon avis sur un homebrew tout ce qu'il y'a de plus sympathique, sortit sur Mega Drive et Evercade en 2020. Accouché par les fameux Mega Cat Studios, ça ne pouvait que donner un beau bébé. Et si aux premières images on peux penser à un jeu pour enfants, le propos premier du soft n'à rien de gamineries. Voici donc Devwill Too . Le retour aux sources Le jeu   nous relate le parcours initiatique d'un homunculus, sorte de petit golem ressemblant à un chat croisé avec un lémurien, sans bouche ni nez. L'introduction nous montre son créateur, qui doit fuir devant certains soucis, et la naissance de notre petit héros sortant de son oeuf... Celui-ci se pose de suite les questions existentielles de la vie. Qui suis-je ? Pourquoi suis-je là ? Et décide de suivre une sorte de mirage, un autre homunculus lui faisant signe. S'ensuit alors une aventure très agréable à suivre. Déjà, l&#

J'aime les shmups qui proposent un gameplay original. Il n'y a pas que les vaisseaux spatiaux dans la vie. Grâce à l'Evercade, j'ai récemment fait la découverte d'un titre des célèbres studios Codemasters, sortit en 1992 sur Nes et proposant un concept nouveau dans le monde du shoot 'em up. Apparemment, une version C64 devait voir le jour en 1993 mais fût annulée au dernier moment, Codemasters se retirant de ce marché. Je suis presque certain que des petits malins ont du déterré cela et que ça doit se trouver sur le net. J'irais voir ça. En attendant, concentrons nous donc sur cette version Evercade, tirée de la Nes, respirant la joie, les pâquerettes et la bonne humeur. Bzzz... Allez les noires et jaunes ! Nous sommes donc l'abeille numéro 52, ne me demandez pas pourquoi. Notre quête sera tout simplement celle pour laquelle le bon Dieu nous a créé : la récolte du pollen. Et je vous le dis, la tâche ne sera pas facile. Lors de ses premiers runs, l'on

Souvent citée, certes, mais tout de même laissée à l'abandon, la série constituée de Centipede et de sa suite Millipede n'a t'elle donc plus aucun admirateur ? Et bien sachez que votre serviteur continue à y jouer régulièrement sur Atari Retro Handheld et compte bien la réhabiliter. Cette série de jeux mérite qu'on s'y attarde car elle propose un gameplay génial qui n'appartient qu'à elle dans l'univers du shoot 'em up, et aussi car elle fût le prémice aux titres merveilleux que l'on peux trouver aujourd'hui. En son temps, elle enchanta les joueurs d'Atari 2600. Voici donc mon plaidoyer pour les mille-pattes (et Dieu sait qu'en vrai, ils me répugnent). La guerre des mondes Ces covers me font quelque chose, je me revois dans le salon familial à regarder mes boîtes de jeux. J'adorais observer mes boîtes sous toutes les coutures. Qu'est-ce que j'ai rêvé devant cette illustration de Centipede ... D'après certaines illust

Apparu dans le carrousel de mon C64Mini accompagnant la dernière mise à jour du firmware, Soulless me faisait de l'oeil avec sa cover trop classe mais vous savez ce que c'est... Nous avons tellement de jeux à faire... Le truc c'est que j'ai appris la sortie toute récente de Soulless II : The Armour Of Gods , qui soit dit entre nous m'a tout l'air d'être terrible. Je me suis donc dit qu'il était temps de m'y mettre.  Dès l'introduction et l'écran titre, je me suis traité d'idiot pour avoir tant attendu. Et je peux vous dire que je compte bien me jeter sur sa suite. Maintenant, laissez-moi donc vous conter l'histoire d'un roi qui fût la victime d'un funeste sort... The Thing Le bon roi Rizek était fatigué des guerres incessantes, du sang versé, des familles en deuil... Mais le jour arriva où enfin la paix s'installa. Son royaume pouvait maintenant souffler. C'était sans compter sur les généraux dorénavant oisifs et rong