Avec le génial The Coma 2 encore en tête, je ne pouvais qu'avoir envie devant ce Live Stream : Escape from Hotel Izanami . Sur la Switch, nous sommes gâtés quand il s'agit de 2D horrifique. Du poétique Detention jusqu'aux bouillonnants The Coma en passant par le sombre Inside , les très inspirés Little Nightmares …  La concurrence est là pour notre plus grand plaisir. C'est donc sur ce terrain propice qu'arrive tout en finesse ce Live Stream . À la vue du sous-titre, peut-être pouvons nous espérer voir là le début d'une série. Aller, il est temps de lancer le live … Animé interactif Très classes et très fins, tels sont les graphismes de ce jeu. C'est franchement beau et bien animé. La direction artistique est bien creepy comme on aime. L'Hôtel Izanami est un lieu glauque et délabré. Parcourir ses couloirs et ses chambres demandera une once de courage. Les héroïnes sont hyper attachantes et sexy, comme seuls les japonais savent en imaginer. Les développ

Ah, Piko Interactive… On pourra dire qu'ils ont bien gâté les joueurs Evercade que nous sommes. Du beat 'em up, du RPG, de la plate-forme, du sport… Dont des jeux de caisses ! Si j'ai déjà publié un test de Racing Fever, que j'aime beaucoup mais qui reste assez simpliste, sur ce coup-là c'est avec du très lourd qu'arrive Piko. Ils ont acquis les droits de la série Top Racer (Top Gear), rien que ça, et nous portent donc les deux premiers épisodes Super Nintendo sur nos Evercade chéries (peut-être une future Piko Interactive Collection avec Top Racer 3000 ? ) . Ces jeux firent le bonheur des joueurs à l'époque bénie des 16 bits, qu'en est-il aujourd'hui ?  La fureur de vivre Dieu, que ça fait du bien ! Ces jeux de courses en 2D ont le don de me ramener de suite en enfance. Je ne vais pas vous raconter ma vie mais mes tendres années furent… Et bien loin d'être tendres. Mais je ne peux m'empêcher d'être tout de même nostalgique de cette époq

Les coréens de chez Devespresso n'ont pas finis de nous régaler. Après un premier épisode très réussi, ils nous proposent une suite plus belle, plus longue, plus innovante, plus tout… Et je vous garantie qu'on peut ressentir une sacrée angoisse même avec des graphismes en 2D typés manhwas (les mangas coréens). Ils nous l'avaient déjà prouvé avec l'opus précédent et réitèrent leur forfait avec encore plus de force. The Coma 2 fiche les chocottes. Aller, prenons notre courage à deux mains et repassons les portes du lycée Sehwa. Il reste beaucoup à faire pour se débarrasser de la Soeur Cruelle. Coup de crayon et coups de griffes Qu'est-ce que c'est beau ! Les graphismes restent fidèles au premier épisode mais sont plus fins et fourmillent encore plus de détails. Les différents personnages sont stylés et superbement animés tandis que des décors se dégage une aura extra dark. Tout est sans dessus dessous et des plantes empoisonnées poussent sur toutes les surfaces. D

Il est possible d'avoir peur en 2D, en voici la preuve. The Coma Recut nous provient de Corée du Sud et a vocation de nous faire frissonner avec un univers typé manga, ou plutôt manhwa pour être précis. Le pari est-il tenu ? Je répond oui et haut la main. Avec son monde et son scénario peaufiné, plein de personnages attachants, il happe le joueur pour le ramener à ses années lycée. Quel horreur…  Le savoir-faire coréen Si vous êtes friands de BD, mangas et autres coups de crayon, alors The Coma Recut va de suite vous parler. Son style est unique. Le studio Devespresso compte de sacrés talents dans ses rangs. Les nombreuses animations, la palette de couleurs, le design des personnages et des décors… Le lycée Sehwa où va se dérouler l'action est superbement représenté et va savoir se montrer extra flippant à parcourir. Tout se marie à merveille, un régal pour les yeux, et nous avons même le droit à de belles cinématiques faites de magnifiques artworks. Une fluidité sans faille

Un couloir et quelques pièces, ça suffit à faire un  bon jeu d'horreur, pour peu que les développeurs soient talentueux. C'est le cas ici. Hommage à la fameuse démo P.T. de Kojima , Evil Inside distille une ambiance des plus glaçantes. On y danse, on y danse tous en rond... Horreur en milieu cosy Franchement classe, la direction artistique est inspirée. Une vraie trouille nous prend aux tripes tandis que l'on arpente ces deux couloirs. Les graphismes sont assez beaux et la partie sonore bien flippante. Les jumpscares sont bien trouvés et placés avec intelligence. J'ai trouvé ce titre très agréable à parcourir, si l'on peut dire d'un jeu qui fait dresser les poils. Le récit d'horreur a vraiment toute sa place dans un lieu moderne comme celui-là (je pense aussi à Infliction Extended Cut ). Vous ne risquez pas de vous perdre Marche ou crève Avancer et trouver quoi faire, sur quoi cliquer, pour débloquer la suite. Voici à quoi se résume le gameplay de Evil Insi

Encore et toujours une oeuvre signée Psytronik Software. Je n'y peux rien si ils sont si talentueux. Mais cette fois-ci ce n'est pas tout. Lorsque j'ai atteint les crédits de fin, j'ai tout de suite reconnu le nom de Mickael Tillander qui m'avait tellement fait halluciné avec son fa-bu-leux Tänzer sortit sur Mega Drive et Evercade. Je ne savais pas que ce designer oeuvrait pour Psytronik Software. Ceci explique bien des choses... C'est donc pour Knight 'n' Grail que nous sommes là aujourd'hui. Créé par les suédois de Wild Pixel Games en 2009 et donc édité par Psytronik Software. Ce petit chevalier que nous allons diriger va vivre bien des aventures. Aiguisons notre épée au moins aussi impressionnante que celle de Guts, nous allons en avoir grand besoin. Les aventuriers de l'arche perdue La vie était belle entre notre héros et sa dame, jusqu'à ce jour funeste où une malédiction leur tomba dessus. Notre belle est désormais changée en un horri

Mais qu'il est mignon ! Ce petit robot que nous allons jouer a tout pour plaire. Découvert dans l'émission "les News du Commodore" diffusées sur la chaîne YouTube Commodore 64 Mania, je suis désormais accroc à ce soft. Un jeu charmant au possible, voici ce que nous propose l'antique et génial "ordinateur personnel le plus vendu au monde". Décollage !  Eveeeeee... Première chose qui enchante de suite le joueur : la direction artistique. Notre petit robot vit dans un monde nommé Retrogames Land. C'est un endroit divisé en cinq parties toutes dotées d'une ambiance tirée de vieux classiques connus de tous ou presque :  Mayhem in Monsterland , Rick Dangerous , Bubble Bobble , Flashback et une dernière partie nommée Classics Land. Chacune arbore "ses couleurs" et l'on devine bien l'univers suggéré.  C'est magnifique. Vraiment, le jeu est très très beau. Les palettes de couleurs, l'univers kawai, notre héros... C'est repo