Le premier épisode, sur lequel sera axé cet article, a été plutôt bien reçu à sa sortie. Rien de grandiloquent. Sa suite se fit descendre en flèche. Des notes horribles jusqu'à un 1 sur 10 qui me fit bondir de ma chaise. Comme quoi, il ne faut se fier qu'à soi. J'aime cette série d'un amour profond. C'est dit. J'ai retrouvé avec Remothered, œuvre signée par les indépendants Darril Arts Studio, tout ce qui me faisait peur dans les jeux étant gamin. Pile l'image que le survival-horror à toujours eu dans mon esprit. De plus, je fus happé par son scénario alambiqué mais d'une profondeur vertigineuse. Laissez-moi vous conter mon rapport assez particulier à ce Tormented Fathers. Je vous préviens, il fait peur. Très peur… Classe et classique Honnêtement, je n'attendais pas grand chose de Remothered : Tormented Fathers . J'étais en pleine période "retour au gaming" et j'avais surtout besoin de me vider l'esprit suite à une séparation,
GAMING POUR GARGOUILLES : si l'évocation de Final Fantasy VII et Enter to the 36th Chambers fait remonter en vous de bons souvenirs, alors vous êtes ici chez vous. Parce que le média que nous aimons tant est extrêmement vaste, voici des tests d'œuvres qui ne sont pas mises en avant par la presse dite traditionnelle. J'espère parvenir à vous donner envie de jouer à autre chose qu'aux sempiternels AAA sans saveur. Peace.